jeudi 3 mars 2016

Euthansie, legal?





L’euthanasie est un moyen efficace pour abréger les souffrances de malades en phase terminale, dans de nombreux pays plusieurs formes d euthanasie son déjà autorise. Cependant le France s'oppose au suicide assiste.

A quand la France autorisera le suicide assiste?
Arthur et Romain

la prostitution dans le monde

Le plus vieux métier du monde demeure la source de revenu d’un nombre non négligeable de femmes et d’hommes. Partout dans le monde, et plus spécifiquement dans les grandes métropoles, il existe des zones entièrement dédiées à la chasse aux prostitué(e)s. Nous vous présentons le top 3 des zones de prostitution les plus connues et les plus attractives au monde :

1. Las Vegas, États-Unis
Plusieurs touristes pensent que la prostitution est légale à Las Vegas, pourtant il n’en est rien. Il est assez commun de voir des filles à demi nues adossées aux murs de Las Vegas devant les hôtels et les casinos à la recherche de clients avides de plaisirs charnels. Le corps de la femme est un symbole qui identifie la ville.

2. Montmartre, Paris, France
A Paris, Montmartre constitue une destination de prostitution par excellence. On trouve plusieurs boutiques à caractère érotique qui vendent et louent vidéos pornographiques et tous genres d’accessoires. La place abrite des shows et des spectacles dans des boites de nuits et des clubs telles que l’Elysée Montmartre et le Moulin Rouge

3. Geylang, Singapour
Geylang est une zone réputée par ses prostituées fidèles qui fréquentent les innombrables bars de l’entourage. Les filles sont exposés aux œils assoiffés des clients, chaque client choisi alors la demoiselle qui lui plait et l’emmène dans un des petits hôtels à côté. L’exercice de la profession est légale, néanmoins plusieurs filles s’adonnent à la chose de façon non réglementaire.

source de la vidéo: YouTube 

La législation sur l'euthanasie: l'Europe demeure divisée

La Belgique est l'un des rares pays européens à avoir entièrement dépénalisé l'euthanasie. Elle est reconnue comme un "droit pour chaque malade à poser ses choix en termes de vie et de mort".
Il est le seul  et le premier au monde à avoir légalisé l'euthanasie pour les enfants "en capacité de discernement" atteints d'une maladie incurable, via la loi du 28 février 2014. Mais, en un an et demi d'existence, aucune euthanasie de mineur n'a été pratiquée. Les Pays-Bas autorisent eux aussi l'euthanasie pour les mineurs, mais en ayant fixé une limite d'âge minimum à 12 ans.
Nos voisins néerlandais (pionniers européens en la matière), tout comme le Luxembourg, sont les seuls à avoir également pleinement reconnu l'euthanasie comme légale. Le Grand-Duché ne l'autorise néanmoins pas pour les mineurs, à la différence des deux autres membres du Benelux.
Le reste de l'Europe est nettement plus divisé. De nombreux pays établissent d'emblée une distinction entre plusieurs formes d'euthanasie. Il en existe trois types (si l'on fait abstraction de l'euthanasie qualifiée "d'indirecte", et qui résulte de l'administration de médicaments dont la conséquence, non recherchée, provoque la mort).
Suicide assisté médicalement
Il y a tout d'abord le suicide assisté médicalement : le patient accomplit lui-même l'acte qui entraîne sa propre mort. Il est aidé dans cet acte par un tiers qui lui fournit l'environnement et les moyens nécessaires.
Les Pays-Bas ont été les premiers à légaliser cette pratique. Elle est aujourd'hui légale en Suisse, où elle ne nécessite le feu vert que d'un seul médecin. En Espagne, également, le suicide assisté a été dépénalisé en 1995, mais implique une demande "instante et réitérée" du malade et que ce dernier souffre d'une maladie incurable ou dont les douleurs sont permanentes et difficiles à supporter.
En Belgique, la loi ne fait aucune référence à "l'aide au suicide" ou au "suicide assisté", mais certains, à l'image d'Etienne Montero, professeur et doyen de la Faculté de droit à l'Université de Namur, se sont interrogés sur le caractère ambigu du texte, qui, sans faire mention de ces termes, légalisait "implicitement" l'acte. En 2009, le docteur en droit ajoutait notamment que le suicide médicalement assisté permet d'assurer "le respect de l’autonomie du patient, puisque c’est lui qui se donne finalement la mort".
Euthanasie active
Autre forme d'euthanasie est celle qui est dite "active" – et qu'une fois encore les Pays-Bas ont été les premiers à dépénaliser. La différence avec le suicide assisté, c'est que le médecin pose lui-même le geste ultime; il administre au patient une substance qui entraîne la mort. La mort est donc provoquée par le médecin.
Cette forme est majoritairement rejetée par les pays d'Europe. La Belgique, les Pays-Bas et le Luxembourg sont les seuls États à l'autoriser. Les lois régissant l'euthanasie active posent un certain nombre de conditions, requièrent une démarche strictement réglementée du patient et, généralement, définissent un certain nombre de devoirs pour le médecin.
En Belgique, "la responsabilité du médecin est engagée" dans la pratique de l'euthanasie active. Il s'expose donc, "en cas d'irrégularités", à d'éventuelles poursuites. "La Commission de contrôle et d'évaluation qui vérifie si l'euthanasie a été pratiquée dans le respect des conditions légales, peut transmettre le dossier à la justice", peut-on lire sur le portail des services publics de Belgique.
Euthanasie passive
Le troisième type d'euthanasie est le plus répandu en Europe : l'euthanasie passive. Bien que chaque pays en ait sa propre définition législative, elle consiste à provoquer le décès par l'arrêt des traitements ou de l'alimentation artificielle. Elle peut aussi prendre la forme d'une administration de médicaments visant à limiter la douleur, ce qui peut avoir comme "effets secondaires" d'abréger la vie.
En France, c'est cette dernière solution qui a été retenue dans la loi Leonetti de 2005. Ce texte instaure le droit au "laisser mourir". Autrement dit, il ne s'agit pas de provoquer directement la mort, mais davantage de l'accompagner.
Le Danemark permet également l'arrêt des traitements dans le cas d'un patient incurable, tout comme l'Italie dont la Constitution reconnaît le droit du patient à refuser des soins (l'Italie condamne par contre toute pratique de l'euthanasie active, considérée comme un homicide volontaire; le suicide assisté y est par ailleurs un délit).
Ce droit est aussi inscrit en Hongrie et en République tchèque pour les malades incurables. Le Royaume-Uni, l'Allemagne, l'Autriche ou encore l'Espagne autorisent également l'euthanasie passive, mais, encore une fois, suivant des conditions strictes.
L'euthanasie vue comme homicide
Enfin, la loi de certains pays du continent ne fait absolument pas mention de l'euthanasie, si bien qu'elle est perçue et punie comme un homicide ou comme de la non-assistance à personne en danger.
C'est notamment le cas en Irlande, où l'euthanasie, quelle qu'en soit la forme, est passible de 14 ans de prison. La Bosnie, la Croatie et la Serbie considèrent l'euthanasie comme un homicide, tandis que la Grèce et la Roumanie l'interdisent catégoriquement, exposant tout contrevenant à des peines pouvant aller jusqu'à 7 ans de prison.
En Pologne, si l'aide à mourir est également passible de 3 mois à 5 ans de prison, une porte reste entrouverte : le tribunal peut atténuer la peine, voire y renoncer, "dans des cas exceptionnels" prévus par la loi.
Avis personnel:
Selon moi, l'euthanasie demeure une mesure extrême qui ne devrait pas entrer en vigueur dans la législation française.
En effet, de nombreux moyens médicaux existent pour atténuer les douleurs et les recherches doivent aller en ce sens. La vie étant l'essence la plus précieuse au monde selon moi, l'oter doit être une action bannie.
Je peux finir en laissant la parole à Gandhi qui disait: "La vie est mystère qu'il faut vivre et non un problème à résoudre".
                                                                     RL

mercredi 17 février 2016

La laïcité à l'école

La France est une république indivisible, laïque, démocratique et sociale en effet elle garantie légalités de tout un chacun et respecte toutes les croyances. La laïcité c'est la séparation des religions et de l'état, ce dernier est neutre en matières de culte il n'y a donc aucune religion d'état.

A l'école la laïcité garanti l'accès a une culture commune et partagé par tous, la laïcité fait l'objet d'une charte énonçant les principes a respecter à l'école afin que  laïcité soit appliqué:






La domination de la religion

La domination de la religion


                                                       1. Puritanisme
                
Le puritanisme est une branche ’’extrémiste’’ du christianisme d’origine anglaise pendant le 16 siècle  très axé pour ces pratiquant est un style de vie totalement orienté contre tous ce qui avait un rapport avec le mal  en effet c’est population habiller qu’avec des couleurs sombres car ils pensait que la couleur avait un relation avec le mal ; n’aller pas dans des endroit qualifier de mal tel que les forêts et ne pouvait concevoir l’existence des êtres humain pratiquant la sorcellerie qu’ils considérés avoir un lien direct avec le mal.

2. procès de Salem

Apres avoir fait le voyage pour l’Amérique une colonie de puritain arriva a Salem dans le Massachusetts  tomba gravement malade et dans cette folie lié à la fière ils décrétèrent que leur maladie avait un lien avec un sort lancé sur le village. Suite à cela il s’ensuivie une longue suite de procès sur de nombreux personne tous accusé de pratiquer de la sorcellerie. Ces procès dirigé par les puritain menèrent une grande suite d mort car la manière des déterminer si la personne était coupable ou pas menait au final à la mort de la personne. Tous cela à cause de personne qui avait une croyance très profonde qui ont causé un grand nombre de mort.

3. conclusion


Meme si nous n'entendons plus parlait de d'histoire comme celle des procès de Salem il existe toujours une domination de la religion de nos jours.En effet certaine personne fanatique mène des guerres ou se suicide au nom de certaine croyance On peut constater qu’il existe tour jour une domination de certain religion au sein sur la manière de penser de certaine population




La laicité et l'Alsace.






La laicité et l’Alsace.
La laicité repose sur trois principes : la liberté de conscience et la liberté de culte, la séparation des institutions publiques et des organisations religieuses, et l’égalité de tous devant la loi queles que soient leurs croyances ou convictions.

Cependant La loi de séparation des églises et de l’Etat de 1905 ne s’applique pas sur l’ensemble du territoire français. En Alsace-Moselle par exemple, le droit local des cultes est largement issu du concordat de 1802. 

Le droit des cultes en Alsace-Moselle
La loi de séparation des églises et de l’Etat a été adoptée en 1905, période pendant laquelle les départements d’Alsace-Moselle étaient annexés par l’empire allemand, à la suite de la défaite de 1870 et du traité de Francfort du 10 mars 1871. En 1918, quand l’Alsace-Moselle redevient française, la loi de 1905 n’y est pas appliquée. L’Alsace-Moselle conserve son droit local, ce qui est confirmé par la loi du 1er juin 1924.
Comme sous le Concordat, quatre cultes sont reconnus : le culte catholique, les cultes protestants luthérien et réformé, le culte israélite.

L’école et la laicité en Alsace.
La religion est enseignée obligatoirement à l'école primaire et au collège, mais une dispense est maintenant acceptée sur demande écrite des parents en début d'année scolaire. Les élèves du primaire dispensés de cours de religion assistent à des cours de morale; les collégiens sont simplement dispensés de cours. Ce n'est pas un cours de catéchisme mais plutôt un enseignement culturel et religieux (le catéchisme au sens strict du terme, préparation des enfants à la communion et à la confirmation, est assuré dans les paroisses).

Cela pose alors le problème de : l’alsace-moselle est-elle laïque ?



De mon point de vue bien que je pense qu'il est necessaire pour l'Alsace et la Moselle  de garder son statut  particulier  étant le  fruit d'une histoire qui n'a pas toujours été facile, je ne comprends pas que de telles pratiques aient encore leur place à l'école, surtout si elles sont dites publiques. 

 Je ne comprends pas que, bien que cela soit connu de tous (parents, enseignants, inspecteurs...), personne ne réagisse pour demander un respect des textes français, qui prévoient une "instruction religieuse", mais pas une forme de catéchisme.